Je cherche désespérément une référence...
Autrefois j'ai lu dans une publication de Henri Potiron un passage où il disait en substance :
"A force d'étudier le chant grégorien, j'y discerne deux courants : l'un qui ignore le demi-ton et l'autre qui le fractionne"
Si quelqu'un peut la retrouver, je lui en serai très reconnaissant.
Cordialement
Daniel Saulnier
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Replies
Merci, mon cher Dominique, pour ces recherches !
Personne de mes contacts n'est parvenu à trouver.
Je ne voudrais pas vous faire perdre du temps...
Amitiés
Daniel
En tout cas, rien dans "l'analyse modale du Chant Grégorien", ni dans "La composition des modes grégoriens"...
Bonjour,
Voici le lien pour la version française de Helmholtz.
https://archive.org/details/thoriephysiolo00helm
Cordialement
SL
Un merci très sincère pour cette réponse détaillée et cette suggestion
Très cordialement !
Hello!
Comment allez vous?
Je n'ai pas de réponse directe sur Potiron, mais il y a sur plusieurs groupes certaines discussions intéressantes en ce moment sur le sujet.
Il y a un livre qui m'a paru d'un très grand intérêt (que j'ai indiqué à Dominique Crochu l'autre jour dans le cadre d'une autre discussion sur le Sib) pour la question des fractionnement du ton, ou plus exactement de la valeur à donner à ABCDEFG selon les modes
"Théorie Physiologique de la musique" de Helmhotlz" (en pdf sur le net). Regardez, notamment, la troisième partie sur l'affinité des sons, traite des toute la question des modes dans tous les systèmes de chant, par rapport à l'échelle des sons naturelles. Et relie tout ceci à toute s les théorie les plus anciennes depuis Pythagore. Modes, grecs, chinois, grégoriens, arabes, etc. Toutes les questions de construction d'échelles de son y sont abordées. Les première parties sont d'ordre mathématique. Je pense que l'ingénieur que vous êtes les apprécierez!
En ce qui me concerne, cela m'a ouvert des perspectives extrêmement claires sur chaque mode/notes en montant et en descedant, et en particulier pour le si et le mi. En croisant ses informations avec le manuscrit de Montpellier, et les tables d'alypius pour les signes particuliers, on arrive à des conclusions pratiques qui me semblent satisfaisantes.
In Christo