Dans le plain-chant tardif (XVII-XIXème s.), dans un récitatif comme celui du Pater noster de la messe, il y a un très grand nombre de 1/2 barres. Même après les mots d'une seule syllabe. (cf exemple ci-joint, München, missale 1822)
Faut-il vraiment respirer à toutes les barres ?
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