En fait, l'occupation d'européiser l'église grecque chez cet auteur offre un bel motive de s'enrager chez les musiciens d'Istanbul, malgré des forts rélations avec le Conservatoire de Paris.
Il faut comprendre que les Fanariotes eux-mêmes (les habitants du quartier Fener où se trouve le patriarchat) régardaient la notation byzantine, réformé par Chrysanthos, comme plus universelle que la notation du pentagramme. Bien sur, il y avait aussi les grands protopsaltes qui avaient refus la simplification de la réforme - comme Konstantinos Protopsaltis.
En tous cas, cet essai me semble une belle document de ces querelles environ 1900.
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Hahaha!
En fait, l'occupation d'européiser l'église grecque chez cet auteur offre un bel motive de s'enrager chez les musiciens d'Istanbul, malgré des forts rélations avec le Conservatoire de Paris.
Il faut comprendre que les Fanariotes eux-mêmes (les habitants du quartier Fener où se trouve le patriarchat) régardaient la notation byzantine, réformé par Chrysanthos, comme plus universelle que la notation du pentagramme. Bien sur, il y avait aussi les grands protopsaltes qui avaient refus la simplification de la réforme - comme Konstantinos Protopsaltis.
En tous cas, cet essai me semble une belle document de ces querelles environ 1900.
Oliver Gerlach a dit :