Le manuscrit 808 de la Grande Chartreuse présente un situation intéressante où l'emploi du bémol semble bien être une preuve de l'enchaînement d'un texte.
Nous pensons aux exemples ci-dessous:
Dans le premier exemple, le si bécarre s'explique par le lien du mot "delicto" avec ce qui précède, un contexte mélodique en faveur du si bécarre. Le mot "delicto" est donc bien lié à la première incise. La deuxième incise commence à "habebit".
Dans le second exemple, à "et Odor", le scribe en écrivant le bémol, signale ainsi le début de la deuxième incise , liée au contexte mélodique qui suit et clôt l'antienne (SOL FA RE...). Il place d'ailleurs en cet endroit un quart de barre...
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