VALENCIENNES, Bibliothèque municipale Ms 399 (382), 208r

 

REIMS, Bibliothèque municipale

Ms. 99
IX ▪ Saint Grégoire, Morale sur Job livres I-V (Vol 1). 172v essai de plume (XIème) alleluia et autres textes avec neumes messins

Ms. 123
VIII-XI ▪ Claude de Turin, livre IV Informationum litterae et spiritus super Leviticum. 155v addition d’une antienne en notation franco-messine ▪ CMN 2, p. 96-97

Ms. 213
IX ▪ Sacramentaire copié à Saint-Amand : 91r-92v Exultet en notation neumatique messine ▪ CMN 2, p. 98-99

Ms. 296
XII ▪ Cassiodore, Commentaire des psaumes.- Fragment d'un missel noté (XIIe s.).- Neumes messins sans ligne ▪ CMN 2, p. 95

Ms. 304
IXex ▪ Collectaire à l’usage de l'abbaye Saint-Thierry de Reims ▪ CMN 2, p. 135-136

Ms. 408
X (99-73) XI (1-98) ▪ Mélanges d'écrits patristiques ▪ CMN 2, p. 146-147

 

 

 

 

VALENCIENNES, Bibliothèque municipale

Ms. 148 (141)
IX (c. 860-880) ▪ Aurélien de Réomé, De musica disciplina ▪ CMN

Ms.150 (143)
IXex ▪ Ecrits de Saint Grégoire de Naziance : 36r essai de plume Notation paléofranque ▪ CMN

Ms. 285 (215)
IX ▪ Incipit expositio Zmaracdi abbatis in regula beati Benedicti. Incipit praefatio in eadem regula metrice dicta. Garde de début : essai de plume, 3 tons de psalmodie, notation messine sur 4 lignes (XIV ?)

Ms. 337 (325)
X ▪ Manuscrit provenant de l’abbaye de Saint-Amand. Musica enchiriadis 42r-54v ; Scolica enchiriadis 55v-79v ▪ Schmid A –CMNRISM B III 6 p. 249Musica et Scolica enchiriadis : les sources

Ms. 384 (368)
X ▪ Manuscrit de Saint-Amand, Théorie musicale « Isidore » ▪ RISM B III 6 p. 250

Ms. 399 (382)
IX-X-XI ▪ Isidore, Étymologies – Chants de l’Office et Alleluia, notation neumatique paléofranque avec lettre significatives « s » et « io » ▪ CMN

Ms. 448
X ▪ Térence, Comediae, avec gloses. 116v addition du XIIème Inc. Occidi neque virgo est usquam... ▪ CMN

 

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Replies

  • Si c'est une référence au St-Omer 698, quand j'ai parlé de "notation à influence messine", je ne parlais pas du tout de la notation neumatique que l'on trouve dans le manuscrit mais de la prose plus tardive que l'on trouve aux fol 67r-67v :
    "notation à influence messine sur 4 lignes", cela n'est pas étonnant c'est le même problème que l'on trouve pour la plus grande partie des manuscrits du Nord de la France.

    Au XIIème siècle on passe d'une notation """"Française"""" à la notation sur ligne messine.

    C'est d’ailleurs quelque chose qu'il faudrait travailler un jour :

    "Pourquoi vers le XIIème siècle la notation messine remplace la notation française dans le Nord ?"


    GOUDESENNE a dit :

    Enfin et de même, une clivis à angle droit ne caractérise en rien une notation "d'influence messine". On lit trop souvent "notation d'influence messine" (par ex. à St-Omer), alors qu'il s'agit parfois de graphies qui sont propres aux notations situées loin du "domaine messin", déjà en germe dans des notations antérieures. 

     

    VALENCIENNES - REIMS (Gallica Mise à jour)
      VALENCIENNES, Bibliothèque municipale Ms 399 (382), 208r   REIMS, Bibliothèque municipale Ms. 99IX ▪ Saint Grégoire, Morale sur Job livres I-V (Vo…
  • les travaux de Bernardino Ferretti (Nonantola) semblent avoir établi une synthèse intéressante en 2003 à propos de cette notation de "Saint-Amand" : la notation apparentée au paléofranc emprunte à bien d'autres des caractéristiques.

    On trouvera aussi un autre exemple à Tours (BnF lat 8883), qui n'est pas breton.

    La typologie "paléofranque" ne peut probablement pas constituer une typologie de même niveau que d'autres (messine).

    Dominique, ouvre donc aussi un débat sur cette nomenclature "notation fraançaise", avec laquelle il faudrait en finir pour de bon : elle induit des raisonnements faussés d'une histoire médiévale qui s'accommode très mal de ces catégories héritées d'une période nationaliste (fin 19e et 20e s.)

    Enfin et de même, une clivis à angle droit ne caractérise en rien une notation "d'influence messine". On lit trop souvent "notation d'influence messine" (par ex. à St-Omer), alors qu'il s'agit parfois de graphies qui sont propres aux notations situées loin du "domaine messin", déjà en germe dans des notations antérieures. 

    Espérons que les travaux de M.-N. Colette conduiront à une révision complète de ces nomenclatures de notations qui ont beaucoup vieilli et isolé les musicologues : il nous faut chercher de nouvelles voies dans la paléographie et l'histoire des aires culturelles du haut Moyen Âge.... En tous cas, comme le rappelait Dom Saulnier à Auxerre en 2010, la question des notations dites paléofranques devient un sujet qu'il semble urgent de traiter.

    P.S. Dans un article en préparation du Colloque du Cem d'Auxerre de 2011 (Des répertoires parallèles pour la Trinité, points de rencontre entre notations et pratiques cantorales au 10e s.), je reviens en détail sur ce fragment de Valenciennes, que j'étudie depuis la préparation de mon catalogue des manuscrits notés des Bibliothèques du Nord et de Picardie : j'ai trouvé les concordances de ces pièces avec d'autres manuscrits, sur lignes et je ne pense pas que la coloration des neumes relève d'une intention cohérente ni systématique (demi-ton, reprises....). 

     

  • Faudrait-t-il parler simplement de notation française alors?
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