Cambridge University Library
T. -S. K. 5. 41

c. 1102 . Poésie religieuse avec notation neumatique normande sur lignes provenant de la Genizah du Caire copié par Abdias, le prosélyte normand.

 

Merci à Luisa Nardini pour avoir annoncé cette mise en-ligne !

 
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  • Another very useful homepage with facsimilia of all manuscripts, an edition of the Hebrew texts and Golb’s translation, was published by Gary A. Rendsburg and Peter M. Shamah:

    https://johannes-obadiah.org

    Johannes of Oppido | Home
  • My new publication (with my own reconstruction of the neumes) is online and you are welcome to exchange about it:

    https://www.academia.edu/s/5c7a09219f/?source=work

  • Une correction :

    Avant le transfer à New York, la collection de Elkan Nathan Adler était basée à Londres.

  • Alors, j'étais demandé de travailler sur ce sujet et après ma lecture des actes je pourrais ajouter quelques détails avec liens utiles vers les autres sources des trois chansons piyyuṭim transcrits en neumes par Obadiah.

    Les dit rouleaux de Obadiah ou Abdias se trouvent dans le Genizah de Caire, parce qu'ils faient part d'une collection conservée dans une chambre cachée (enfin « genizah » voudrait dire exactement ça) de la synagogue Ben Ezra à Fostat/al-Fusṭāṭ (le centre historique de la métropole Caire).

    Aujourd'hui ces milliers des fragments (tous dans une condition mauvaise) sont dispersés dans les archives au monde spécialisés dans les études hébraïques (les rouleaux de Abdias, un normand de Oppido lucan, principalement à Cambridge, Oxford, New York, Cincinatti et Budapest).

    La découverte d'un fragment avec un piyyuṭ connu comme l'eulogie de Moїse avec les neumes normands était déjà fait par Elkan Nathan Adler dans la sa propre collection (connu sous la collocation 4096b) en 1921. La collection était son proprieté basé à Paris et se trouve aujord'hui au Séminaire de la théologie juive à New York. Le fragment était publié dans « The Musical Times » avec une transcription par Arthur M. Friedlander :

    Friedlander, Arthur M. «Discovery of an Ancient Hebrew Manuscript Containing Neums.» The Musical Times 62, no. 937 (1er mars, 1921): 170–72. doi:10.2307/910928.

    Il avait suivi les conseils des moines aux États Unis et de Dom Gabriel Beyssac qui avait dit que le clé dalet (ד) peut être do ou fa. La conclusion était simplement que les premiers sept caractères de l'alphabet hébreu (et après du nouveau א’) veut dire l'échelle diatonique de l'octave.

    Ensemble avec les autres transcriptions par Eric Werner (ד = sol), Hanoch Avenari (ד = re) nous avons déjà expérience avec presque toutes les possibilités de cette hypothèse. Israël Adler est suivi Friedlander et Royal McDonald Werner (présent dans la publication de 2005 citée par Norman Golb). L'argument que la pièce visible « Baruk ha-Gever » suit (plus ou moins) les formules de la psalmodie hébraïque documentée en Italie (Leo Levi), Baghdad, Syrie (Abraham Idelsohn) et Djerba (George Herzog) était déjà utilisé par Adler (1976) comme argument que la version Friedlander doit être juste. Richard Flender suit cette argumentation contribuant avec ses propres enrégistrements réalisée dans l'île de Djerba.

    Ici il y a deux versions qui suit la réconstruction de Werner (interpretée par McDonald comme une sorte de mineur transposé sur MI, évidamment en préparation d'une interprétation par Andre Hajdu accompagnée au piano durant la conférence à Oppido lucan en 2004) :

    https://www.jewish-music.huji.ac.il/content/mi-al-har-horev-manuscr...

    Cairo Genizah
    Encyclopedia of Jewish and Israeli history, politics and culture, with biographies, statistics, articles and documents on topics from anti-Semitism t…
  • En fait, le résultat des interpretations l'a contesté. Mais, si vous regardez avec attention, vous pourriez découvrir qu'il y a quatres lettres pour indiquer la choix des éléments.

    La lecture des neumes comme mouvement ne cause pas de problème, mais l'editeur qui a preparé l'execution par l'Ensemble Grocheio, a crée une forme près du maqam orientale 'uşşāq (nous avons quelques exemples similaires dans le genre alba des troubadours, dans lesquelles le clé suit la convention connue, mais même dans le chant latin on a usé les microtones avec différents techniques de les noter), Royal McDonald au contraire a trouvé quelque chose autour de maqam segāh (seulement le commencement et la prominence du IV dégré ne suit pas le modèle de ce maqam). Mais, il faut lire son article, avant je ne voudrais pas juger la qualité de sa réconstruction.

  • Those who have no access to the New Grove, find here a very simple pitch identification of Hebrew letters:

    http://www.musicofthebible.com/davidic_cipher.htm

    It might have led to a different reading by Ensemble Grocheio (see the videos of Barukh haggever and Waedah mah). But note the critical remarks on the hypotheses by Idelsohn and Haïk-Vantoura in the article "Jewish Music".

    Vera von Falkenhausen was so kind to communicate the date of 3 musicological essays in the proceedings about the reconstruction as we find it in the script by Norman Golb:

    A. De Rosa, M. Perani (ed.). Giovanni-Ovadiah da Oppido, proselita, viaggiatore e musicista dell'età normanna, Atti del convegno internazionale (Oppido Lucano, 28-30 marzo 2004), Florence 2005.

    R. B. MacDonald, "Observations on the music of Ovadiah the proselyte, with special attention to the problem of clef identification," pp. 197-205.

    I. Adler, "The music notations by Ovadiah the Norman proselyte and their significance for the study of Jewish music," pp. 207-223.

    A. Hajdu, "The question of interpretation in Ovadiah's songs," pp. 231-235.

  • I found a script for a paper by Norman Golb which has also transcriptions of the text and the melody (and an English translation of the Hebrew poem):

    http://oi.uchicago.edu/pdf/autograph_memoirs_obadiah.pdf

    Any tips for a modal classification concerning tab' or makam?

  • Non, c'est la poésie réligieuse des piyyutim. Mais c'est un cas exceptionelle dans leur histoire, où on peut réconstruire une mélodie médiévale. En fait, les Normands siciliens ont imité la culture des Fatimides. Peut-être c'est l'explication de ce fragment.

    Il y a quelq'un ici qui connaît l'étude de sa réconstruction?

    Ici, vous avez une archive formidable des enrégistrements historiques, en ligne:

    http://www.piyut.org.il/cgi-bin/close_search.pl?lang=en&act=lad...

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