Malheureusement il y a peu d'articles sur les protopsaltes grecques dans les grands encyclopédies de la musicologie, presque rien sur les grands musiciens dans l'Empire Ottomane.
Pour cette raison, je pourrais conseiller ce site du Patriarcat à Constantinople. Vous avez les articles avec les détails peu connus et les enregistrements historiques des grand maîtres (compositeurs et chantres) qui ont servi au patriarchat à Constantinople:
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Le site συμβολἠ offre aussi de très nombreux enregistrements d'archives. Grande variété d'interprétations tant séculières que monastiques.
http://www.symbole.gr/musice
Ne pourrait-on pas envisager de créer un groupe spécifique pour répertorier les innombrables enregistrements de liturgie grecque-byzantine disponibles sur internet de façon à réserver ce groupe "Chant Byzantin et liturgies orientales" à l'aspect théorique qui semble être sa finalité première?
Selon mon expérience, ce n'est pas possible de comprendre l'aspect théorique sans la pratique. Mes raisons que cet ensemble me plaît, sont:
- Même la discussion philologique des grands signes est divisée entre les "grecques" et leur attitude de comprendre les sources anciennes à la base de la pratique connue dans la tradition vivante, et les "philologues occidentales" qui étaient déjà denoncé par Manouîl Chrysaphis (1458), parce que leur transcriptions offrent seulement la transcription de la métrophonie et on ne connaît pas la méthode de la thèse du mélos. Maria Alexandrou dans sa thèse sur les grands signes a décrit cet antagonisme entre l'école grecque et l'école occidentale. Cette connection du passé avec la tradition vivante nous enseigne l'essence de l'histoire: C'est le travail d'un archéologue. On doit restaurer toutes les niveaux, sans laisser perdre un seul. Le travail commence toujours avec le présent et ce n'est pas clair jusqu'à quelle période la réconstruction sera possible.
- On doit aussi comprendre la reception du répertoire byzantin dans les livres imprints monodiques chez les églises orthodoxes aujourd'hui, qui ont abandonné la majorité. Dans le département de la musique à la Staatsbibliothèque de Berlin, on a retrouvé un manuscrit des 1900 pages seulement avec le menaion du stichérarion kalophônikon, un manuscrit du XVIIIe siècle pour préparer une édition systématique imprinte. Mais le repertoire était trop longue pour l'usage liturgique, parce qu'il n'y avait pas une différence entre les grands fêtes et l'usage quotidienne. À la fin les "grands enseigneurs" de la Nouvelle Méthode ont décidé de publier les petits extraits dans un livre "mathêmatarion" (livre des exercises).
- Les échanges entre les musiciens chrétiens, séphardiques et les soufis persans et arabes continuant depuis plus que 1000 ans, bien qu'il y a beaucoup des scholaires qui sentent séduit de réduire cet échange à une certaine periode. J'apelle ses efforts la byzantinisation de l'histoire médiévale. Mais ce n'est pas si simple.
Bien sur vous êtes libre d'installer une autre groupe, n'importe quoi que je pense.https://www.youtube.com/view_play_list?p=7AECB4E802AEB360
Merci beaucoup!
Il y a aussi un propre compte avec les collections des vidéos, publiés chez youtube, dans le réseau de Frédéric Tavernier "Association pour la promotion de la musique hellénique" (une imitation de celle de Simon Karas):
http://www.greekmusicradio.org/greekbyzantinechoir
Αναστάσιμοι Εσπερινοί από την αγία Ειρήνη οδού Αιόλου 2011 - 2012