The last edition of the Studi gregoriani [2009] contains an interesting article by Alberto Turco: "La bemollizzazione dell' Antiphonale monasticum". He refers to the Liber Antiphonarius part 1, edited in 2005.
Despite the discussions about the b-flat in the editions of the Liber Antiphonarius (2005-06-07) and the new Antiphonale Romanum (2009) I was able to trace 17 antiphons from the Codex Hartker that, to my knowledge, weren't edited in Solesmes Sources uptill now.
F.e.
Elevata est H 391-068
Dominus quidem Iesus H 391-071
Israel potestas H 390-094
Super ripam H 390-108
The margins of my Hartker are almost filled completely with printed sources.
How is yours?
Replies
Und das ist eine generelle Sache? Oui, tout à fait.
Un autre exemple:
Le répons Egredietur virga:
le SIB à "VIRga", syllabique et conforté par le contexte précédent en SOL, qui "empêche" lui-aussi la montée au DO,
la tierce LA-DO à "Ejus" car pes léger...
Voir aussi le Verset: syllabique à "DoMIni" (dond SIB) et mélismatique à"inTELlectus" donc glissement au DO!
Dans le répertoire des antiennes, moins formulaire, le contexte syllabique a plus de mal à "résister " à l'attraction du DO, ce qui explique les hésitations de Dom Gajard dans l'Antiphonale Monasticum de 1934.
Quelques exemples:

EgrediETUR est syllabique, "virGA" est mélismatique, mais le SI bécarre a été choisi dans les deux cas...Un deuxième exemple:
à "de LUce" le contexte syllabique a bien été traduit par le SIB
Alors que dans l'antienne suivante:

les deuxièmes notes des pes syllabiques ont été traduites l'un par le SI bécarre, l'autre - correctement - par le SIB.Un troisième exemple:
SIB à "consiliUM" (torculus syllabique)
SIB à "feCErunt" (mais là, à cause du SOL qui précède)
Un dernier exemple:
Dom Gajard n'a pas retenu le SIB à "GabriEL", bien que la tradition sur lignes (même Outre-Rhin) le signale avec constance et que cette antienne est de même facture que l'antienne Astiterunt reges terrae:

où Dom Gajard n'a pu éviter le SIB à "convenerunt IN unum"je crois que les melodies et meme le layout des melodies de LA 05 en AR 2009 sont identique.
Si vous trouves une alteration, dites-moi.
cordialemente
FRANCO
interessant deine Bemerkungen über sib oder do.
Ich habe Aa20 mal nachgesehen und deine Bemerkungen stimmen.
R. Iste est V. Valde
JoHANnes mit sib, pes auf DoOmini mit do.
SALVA-tor im R. Audite mit sol-sib und dann sib sib ...und
AD-venit mit do
Und das ist eine generelle Sache?
Premier exemple:
le cas des VV des répons du premier mode. En résumé, la médiante, syllabique, n'est jamais attestée par do, et les mss qui connaissent le bémol, l'écrivent ici, tandis que les pes de broderies d'accents, légers, sont "étirés" au ton (Hartker probablement, en effet, il suffit de les comparer aux virga strata des broderies d'accents au troisième mode)
Et en deutérus, deux exemples avec des virga stata:
Les manuscrits sur lignes passent à la tierce LA-DO (nous parlons toujours de la zone outre-Rhin) en premier mode (et à DO (FA)) en deutérus...
Deuxième exemple:
Deux formules en deutérus, de même facture,
l'une,syllabique, et l'autre mélismatique:
La formule syllabique reste stable au si (bémol) dans la tradition, tandis que l'autre, mélismatique, "monte au DO" à "DeUS" outre-Rhin...
Voici l'article de Don Turco:
LA_BEMOLLIZAZZIONE_DELL[1].pdf
L'article est une claire analyse d'une operation qui lasse ouverte plusieurs interrogations
à propos d'un travail conduit sans confrontation avec la communeautè scientifique avant la publication.
Attention: l'article analise l'Antiphonale Monasticum, pas l'Antiphonale Romanun II qui est sorti depuis quelque jours et qui - à premiere vue - presente déjà de probléms de restitution. On verrà........
Si il y a des collegues interessèes à l'article (en italien) je peut l'envoyer en pdf.
Ciao
Giovanni