Le tableau ci-dessous montre plusieurs cas de pressus major. Nous nous sommes posé la question de savoir si la présence de l'oriscus dépend ou non de la position du pressus au début, au milieu ou en fin de mot. Notre petit sondage donne les résultats suivants :
En fait, il semble bien que la présence de l'oriscus soit indépendante de la position du pressus dans le mot.
En conclusion, dans une restitution destinée à une publication, il semble raisonnable de choisir l'oriscus dans tous les exemples signalés ici.
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Vous pouvez m'écrire en anglais, pas de problème.
Je suis intéressé par votre Etude. A-t-elle paru dans le Beiträge ?
Cordialement.
Cher Dominique Crochu,
Est-il possible de vous écrire en anglais?
± 2004 j'ai publiée une petite étude du pressus maior isolé dans le répertoire de la Messe qui peut vous intéresser.
Cordialement,
Jacqueline Elemans
Nous avons repéré un cas où la tradition de Hartker semble bien s'écarter de l'unisson. Il s'agit de l'incipit du répons Vos qui in turribus [de libro Judith]:
On notera la forme particulière de la graphie à l'articulation syllabique de "Vos", forme utilisée d'une manière similaire dans le répons Peto, Domine [de libro Tobiæ]. Dans ce dernier répons, la tradition sur lignes (Est et Ouest) traduit très majoritairement le demi-ton.
Il reste à vérifier si l'avant-dernière note garde son statut d'oriscus...