Quelqu'un sait-il pourquoi il y a cette variante mélodique sur la 2ème syllabe de l'intonation des antiennes O dans le nouvel antiphonaire monastique de Solesmes ? DO-SI dans O Sapientia et O Oriens, et DO-LA dans les autres. d'autre part,
Ce répons, déjà publié par Solesmes (dans "In Nocte Nativitatis Domini", Desclée, 1934), présente de nombreuses variantes. Certains témoins , à partir de "Quia natu
AS2005 (Antiphonale Monasticum de 2005), en page 19, propose une version assez proche, mais qui omet les bémols à "NON", malgré le "mediocriter " de Hartker, appuyé par les bé
Ce répons attesté très tôt dans la tradition, puisqu'on le trouve non seulement dans le Compediensis, mais aussi dans le fragment de Lucca ( fin VIIIème), ne semble
Cette antienne appelle les remarques suivantes: 1) La tradition allemande sur lignes reste globalement fidèle au SI à "veni DOmine", mais quelques-uns d'entre eux ont le DO (par exemple Utrecht 406 et Einsie
Ce répons, qui figure au deuxième rang de la liste des répons du Paulinium, bien que non présent dans Hartker, ni Quedlinburg, a été cependant retenu dans un grand nombre de
C'est le seul répons du Breviarum Monasticum, figurant au troisième dimanche de l'Avent (en quatrième position), à ne pas figurer dans l'antiphonaire de Hartker.
Ce quatrième répons de la Septuagésime ne présente pas de difficulté particulière. Notons l'originalité du mélisme ornant la syllabe précédant le mot final, à "q
Ce répons, le quinzième de la première semaine de l'Avent dans l'ordre d'apparition du Bréviaire Monastique de Paul V, utilise des formules classiques. Il ne présente pas de d
Ce 4ème répons de la sexagésime, principalement attesté par les manuscrits italiens, emploie des formules classiques du 8ème mode, non cependant dépourvues d'orig
Ce répons ouvre le dimanche de la Sexagésime. Son incipit est emprunté au répons du "Vieux fonds" Aedificavit Noe (CAO 6055). La modalité de nos témoins oscille ent
La première concerne la nature du pes d'intonation, à "ne TImeas". Le témoignage bien connu des manuscrits aquitains ( et dans une moindre mesure celui